Jeudi 22 septembre, deux médias locaux – Le Courrier de l’Ouest et Lekiosque.info- ont rapporté une information troublante {http://panamza.com/byl; http://panamza.com/bym}.
Mercredi 21 septembre, les employés d’une entreprise de fauchage ont surpris trois hommes quitter rapidement en fourgonnette blanche les abords d’une petite église située à la sortie de Saumur. Dans une grotte souterraine, ces faucheurs venus débroussailler les lieux ont découvert des drapeaux de Daesh, des journaux arabophones, un groupe électrogène et du matériel audiovisuel.
Alertées, la police et la préfecture auraient ensuite appris qu’il s’agissait là d’un « exercice de formation » organisé par le Centre interarmées de défense nucléaire, radiologique, biologique et chimique (CIANRBC).
Hormis la brève mention de cette nouvelle sur quelques sites d’information, AUCUN média national n’a creusé l’affaire en dépêchant une équipe de journalistes sur place ou en sollicitant directement le ministère de la Défense.
Depuis l’été 2014 (trois mois après l’arrivée de Manuel Valls à Matignon), le CIANRBC est dirigé par le colonel Jean-Christophe Le Roux sous l’autorité du général Arnaud Nicolazo de Barmon, commandant des Ecoles militaires de Saumur {http://panamza.com/byn; http://panamza.com/byo; http://panamza.com/byp; http://panamza.com/byq}.
À noter : seul François Asselineau, président de l’Union Populaire Républicaine (UPR), a exigé des éclaircissements en demandant -samedi 24 septembre- la « création d’une commission d’enquête parlementaire » sur « l’affaire de Saumur » et notamment les points suivants :
« Est-il habituel que des exercices militaires se tiennent dans une planque troglodyte d’apparence désaffectée ?
Pourquoi aucune des procédures d’information habituelles des autorités civiles et militaires compétentes n’a-t-elle été respectée ?
Comment peut-on justifier la fuite de ces trois personnes dans le cadre supposé d’un exercice militaire ?
Qui étaient ces fuyards ?
Qu’est-il arrivé de la suite de l’exercice militaire présumé, ainsi interrompu ? A-t-il été poursuivi, une fois les journalistes repartis ?
À quoi servaient précisément les faux drapeaux de Daesh et les journaux en arabe pour enseigner les méthodes de décontamination radiologiques, nucléaires et chimiques ?
Quels étaient précisément ces journaux ?
D’où provenaient ces faux drapeaux ? Comment une école militaire officielle a-t-elle pu se les procurer ? D’autres organismes officiels d’État en ont-ils et pourquoi ? » {http://panamza.com/byr}.
Rappel : abandonnée devant un local utilisé par l’armée israélienne et situé dans le quartier le plus juif de Paris (en densité de population), la voiture des terroristes cagoulés de Charlie Hebdo (les frères Kouachi selon les autorités) contenait des drapeaux de Daesh {http://panamza.com/bys; http://panamza.com/10267}.
Source : Panamza
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