France : Valls le mendiant

Manuel la Girouette.

Charité bien ordonnée commence par soi-même (sauf en politique !).

Voici ce qu’Emmanuel Macron avait répondu le 2 mai 2017, à Jean-Jacques Bourdin, sur BFMTV, à propos des fonctions que pourrait exercer Manuel Valls, s’il était élu président de la République (ce qui est effectif depuis le 7 mai 2017), Manuel la Girouette, Manu le Parjure, puisque, rappelons-le, bien que celui-ci se fût engagé par écrit à soutenir le vainqueur des primaires du parti socialiste, en l’occurrence Benoît Hamon, c’est en fait pour Emmanuel Macron que Manuel Valls a appelé à voter au premier tour de l’élection présidentielle (et bien sûr au second), et non pas pour Benoît Hamon :

« Manuel Valls ne sera pas au Gouvernement, car je l’ai dit, j’ai été clair : il faut renouveler. »

Or, c’est ce même Emmanuel Macron, qui, rappelons-le ça aussi, car ce fait est essentiel à mon propos, a été ministre « au » Gouvernement de François Hollande.

Mais aujourd’hui, à Manuel Valls qui souhaite être candidat aux élections législatives sous l’étiquette, « La République en Marche », le tout nouveau parti qu’il a créé, Emmanuel Macron, et dont les membres, s’ils sont élus députés, doivent lui donner la majorité qui lui est nécessaire, à Emmanuel Macron, pour pouvoir gouverner, le tout neuf président de la République a répondu très poliment que cette investiture « La République en Marche », il pouvait se la carrer bien profond dans son cul de salope et de traître, Valls.

Alors que ce soit ou non parce que Manuel Valls avait lui déclaré ceci, à propos d’Emmanuel Macron, quand ce dernier avait quitté « son » Gouvernement en 2016, « La Loyauté est essentielle en politique », qu’importe : cette sous-merde, ce despote dans l’âme pire encore qu’Adolf Hitler et Joseph Goebbels réunis, et qui incarne mieux que tout autre, la pourriture extrême et infinie qui caractérise les politiciens professionnels, Manuel Valls s’est magistralement fait rouler dans la farine et humilier publiquement par ce jeune freluquet.

Cet Emmanuel Macron que Manuel Valls considérait hier encore ou presque, comme son élève, vient de prouver là qu’il n’y a pas que dans sa vie privée, qu’il aime baiser ses anciens professeurs : c’est manifestement tout aussi vrai dans sa vie politique.

Et visiblement, il sait parfaitement s’y prendre, le bougre !

En tout cas, nous sommes très nombreux, je pense, à avoir pris notre pied en apprenant la nouvelle.

Dieudonné M’Bala M’Bala, notamment, confirme.

Quant à Alfredo Straniéri, mon époux et aîné de 15 ans, il la trouve pas mal du tout, lui, la Brigitte !

Du coup, moi je dis que, oui : rien que pour ça, finalement ça valait le coup qu’il soit élu à l’Élysée, le gamin.

Et Vive la France !

 

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