Mais ce dénouement inquiète les chancelleries européennes car les activistes qui ont survécus dans les combats risquent de devenir une menace à leur retour. Raison pour laquelle, ceux qui jadis ne reconnaissaient plus la légitimité du président syrien, lui demande maintenant d’apporter son aide pour régler le problème de ces djiadistes troters.
Le « le saviez vous » de cette semaine va tenter de vous présenter comment ces pays européens et plus particulièrement la France essayent de se désembourber de cette situation.
Le 5 décembre 2013, le ministre français de l’Intérieur M. Manuel Valls et son homologue belge Mme Joëlle Milquet ont mis en garde contre le nombre croissant de jeunes Européens qui se rendent en Syrie pour combattre dans les rangs de groupes affiliés à al-Qaïda. Ils affirment que ces combattants constituent un « potentiel dangereux » pour les pays de l’Union européenne et de leurs alliés ! Lors de leur déclaration commune, Mme Milquet a fait savoir que le nombre de jeunes Européens partis combattre en Syrie était estimé à plus ou moins 2000 combattants.
Quant à la France, M. Valls a déclaré : que c’est plus de 180 Français qui s’y trouvent dont 14 ont déjà étaient tués. Le ministre a fait remarquer : qu’il était difficile d’incriminer ces jeunes car il s’agissait d’aller combattre un régime condamné par tous, enfin surtout par Fabius et Hollande.
Mais ce que le ministre de l’intérieur ne dit pas, c’est que l’agression contre la Syrie par l’intermédiaire de ces djihadistes a échoué !
Il ne dit pas, non plus, que ces combattants « aguerris » qui risquent de retourner en Europe, étaient soutenus par le bloc occidentale dont la France.
Minimisant les dangers, pour masquer la peur de l’Occident face à ce probable nouveau terrorisme européen, le ministre français a ajouté : ne pas constater de menaces directes ou avérées mais qu’il suivait cela avec beaucoup d’attention. Il a ajouté : que la somme des individus qui sont concernés représente en soi un potentiel dangereux ».
Ainsi, la France et la Belgique sont en charge de la coordination des opérations et de la mise en place d’une formule commune, leur permettant de poursuivre les terroristes revenus de Syrie. La France a été choisie car ces opérations nécessitent une coopération avec les autorités syriennes. Ceci parce que seul l’État syrien connait les multiples ramifications des groupes rebelles.
Étant donné que le gouvernement français s’est révélé être le plus agressif des pays de l’OTAN vis-à-vis de la Syrie, il fallait bien trouver un moyen qui puisse lui permettre de reprendre contact avec les Damas. Mais en contre partie, l’État syrien exige préalablement à toutes négociations, des positions politiques claires reconnaissant son agression. C’est justement le problème du Président Hollande et de son ministre des affaires étrangères qui ont mené jusque la, une campagne mensongère et agressive contre le gouvernement de Damas.
Il leur faudra régler la facture de ces mensonges ayant abouti à l’éclosion d’une nouvelle génération de réseaux terroriste qui ne resteront certainement pas confinés à l’intérieur des frontières syriennes, comme l’appréhende le ministre de l’Intérieur.
Le prix à payer sera de cesser toute agression contre la Syrie et de déclarer publiquement la solidarité de l’état français avec son homologue syrien dans sa guerre contre le terrorisme !
Source : Pas L’info
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