Santé : Danger du vaccin

diphtérie-tétanos-coqueluche

Aucun essai clinique destiné à évaluer la sécurité. S’il est bien un domaine où le recours à de véritables placebos devrait être systématique, c’est bien celui des vaccins. Car enfin, il s’agit là de médicaments prioritairement destinés à des personnes saines qui ont à priori plus à perdre qu’à gagner.

(diphtérie-tétanos-coqueluche), fabriqué par Sanofi Pasteur et commercialisé aux Etats-Unis reprend explicitement dans les effets secondaires l’autisme et la mort subite du nourrisson (dont l’acroyme anglais est « SIDS » pour « sudden infant death syndrome »). Pour les visiteurs de ce site, cela n’est pas vraiment étonnant mais pour tous les autres… quel saut de conscience! Car oui, les fabricants le savent et cette notice remonte déjà à… 2005! Et il est bon de diffuser ou rediffuser cette information, plus utile que jamais.

 

Le vaccin Tripedia (diphtérie, tétanos, coqueluche) « sans conservateur » mais néanmoins capable de causer la mort subite du nourrisson et l’autisme en autres joyeusetés…

 

Pendant que des médecins traitants manipulés et des experts sanitaires lénifiants essaient de vous convaincre coûte que coûte qu’il n’y a pas de lien entre ces problèmes de santé et les vaccins, les fabricants eux, l’ont pourtant déjà admis depuis longtemps. Alors, qui des deux ment et qui a le plus des deux intérêt à mentir sur base d’un tel positionnement? Posez-vous svp cette question à temps car elle est cruciale:

 

– Pensez-vous que l’industrie aurait intérêt à reprendre ces effets secondaires dans ses notices si cela n’était pas vrai? Quel est donc son intérêt à l’avouer? Et pourquoi aussi pensez-vous que ce type d’infos figurent sur des notices américaines et pas sur les notices européennes et notamment francophones? C’est simple: aux Etats-Unis, les fabricants jouissent d’une impunité juridique totale qui leur a été accordée par la Cour Suprême du pays. Par conséquent, ces aveux dans les notices ne font courir aucun risque aux fabricants et eux peuvent dire « nous, on l’avait dit, ce sont les autorités officielles qui décident, recommandent voire imposent ». Et voilà, comment le patient finit une fois encore perdant et esclave!

 

– En revanche, l’intérêt des autorités sanitaires et des médecins à dissimuler ces vérités est manifeste: les vaccins rapportent beaucoup à une majorité de médecins généralistes et pédiatres; quant aux autorités sanitaires officielles, elles se sont immensément investies pour soutenir et tout simplement rendre possible la vente des vaccins qui n’auraient jamais trouvé autant de preneurs sans cette apparence de crédit officiel. Dans les deux cas, reconnaître cela exposerait les médecins qui ont vacciné et les autorités officielles qui ont approuvé et recommandé ces vaccins, voire rendus obligatoires dans certains pays, à un risque exorbitant de poursuites judiciaires. Il ne faut donc guère s’étonner que les médecins et les autorités sanitaires dites « publiques » s’entêtent à nier et à parler de « coïncidences ».

 

En concusion, ne vous faites plus leurrer, il s’agit de la santé de vos enfants. Ne vous faites plus enfumer par des articles de presse bâclés et biaisés se limitant à traîner dans dans la boue des chercheurs comme le Dr Wakefield (dont les travaux sur les effets du vaccin ont été reproduits par d’autres équipes de chercheurs non contestés) et qui créent des associations incomplètes dans votre esprit. Aussi, on le voit bien, le vaccin contre la rougeole n’est hélas pas le seul qui soit associé ni le seul qui puisse engendrer des cas d’autisme. C’est hélas aussi le cas du vaccin contre l’hépatite B, du vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche et de l’Infanrix hexa par exemple. On remarquera aussi au final la belle mention « sans conservateur » (« conservative free ») sur la boîte du vaccin Tripedia (vaccin DTC), preuve que le problème de l’autisme est hélas très loin de se réduire à la seule présence de mercure dans certains vaccins! Chez certains enfants, pour des raisons métaboliques individuelles, cela peut être l’aluminium qui va faire tomber le sujet dans l’autisme, et pour d’autres cela pourra être l’effet viscérotrope de certains virus, comme cela se voit avec le vaccin ROR, qui est un vaccin à virus vivant sans aluminium ni mercure. Ne pas oublier qu’un mécanisme physiopathologique n’en exclut pas forcément un autre selon les sujets et que les idéologues de la vaccination n’ont AUCUNE idée précise des effets détaillés à court, moyen ou long terme que les vaccins peuvent infliger au corps par l’entremise du système immunitaire

Source : initiative citoyenne

 

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